BIO
Artiste canadienne multidisciplinaire, Stéphanie Morissette est titulaire d’un baccalauréat en histoire de l’art et en création de l’Université Concordia et d’un certificat en scénarisation cinématographique de l’UQAM. Elle a participé à plusieurs programmes de résidences internationales en Islande (Straumur Art Commune 2002), en Finlande (Tapiola Guest Studio, 2004), au Canada (Banff Centre, 2007) et en Allemagne (Pilotenkueche studio, 2018).
Ses œuvres ont été présentées autant en galerie que lors de festivals en Allemagne, en Angleterre, en Belgique, au Canada, en Chine, en Espagne, aux États-Unis, en Finlande, en Islande, en Pologne, en Syrie et en Turquie, et ce, dans le cadre d’événements tels que Mutek, Montréal, Canada (2021); 22e Rencontres Traverse Vidéo, Toulouse, France (2019); Les Rendez-Vous du Cinéma Québécois, Montréal (2018); International Symposium of Electronic Arts (ISEA), Hong Kong (2016); Women Makes Waves Film and Video Festival, Taiwan (2011); 10e Biennale internationale d'art contemporain d'Istanbul, Turquie, (2007). En 2017, elle a remporté le PRIX du Conseil des arts du Québec - Oeuvre de l'année en Estrie, pour son exposition L'inquiète forêt. En 2018, Stéphanie Morissette a effectuée une résidence au sein de l’entreprise en imagerie cérébrale Imeka, ce qui l'a mené à créer Méandres, une oeuvre en réalité virtuelle avec la collaboration de Imeka, le centre en art actuel Sporobole et Topo centre de création numérique. Méandres était finaliste aux Prix Numix 2021. Stéphanie vit et travaille présentement à Sherbrooke.
Ses œuvres ont été présentées autant en galerie que lors de festivals en Allemagne, en Angleterre, en Belgique, au Canada, en Chine, en Espagne, aux États-Unis, en Finlande, en Islande, en Pologne, en Syrie et en Turquie, et ce, dans le cadre d’événements tels que Mutek, Montréal, Canada (2021); 22e Rencontres Traverse Vidéo, Toulouse, France (2019); Les Rendez-Vous du Cinéma Québécois, Montréal (2018); International Symposium of Electronic Arts (ISEA), Hong Kong (2016); Women Makes Waves Film and Video Festival, Taiwan (2011); 10e Biennale internationale d'art contemporain d'Istanbul, Turquie, (2007). En 2017, elle a remporté le PRIX du Conseil des arts du Québec - Oeuvre de l'année en Estrie, pour son exposition L'inquiète forêt. En 2018, Stéphanie Morissette a effectuée une résidence au sein de l’entreprise en imagerie cérébrale Imeka, ce qui l'a mené à créer Méandres, une oeuvre en réalité virtuelle avec la collaboration de Imeka, le centre en art actuel Sporobole et Topo centre de création numérique. Méandres était finaliste aux Prix Numix 2021. Stéphanie vit et travaille présentement à Sherbrooke.
Démarche
Mes recherches abordent les relations conflictuelles entre les humains, les éléments de la nature et les technologies à travers le passé, le présent et le futur. Elles puisent dans la politique, la psychologie, la biotechnologie, dans les théories sur le postcolonialisme et sur la décolonisation de la nature afin de proposer un regard critique sur les rapports de domination. Poursuivant une approche écoféministe dans une forme narrative teintée d’un humour noir, je multiplie les points de vue évitant ainsi de prendre une position dominante pour inviter les dialogues.
Pour chacun de mes projets, je propose un environnement où je cherche à raconter par fragments ou dans un ensemble, les effets pervers de l'anthropocentrisme.
J’utilise des formes narratives où j’adopte une approche empathique inspirée de l’écoféminisme mettant en avant plan une pluralité de points de vue pour équilibrer le pouvoir du regard. L’objectif est de créer des conversations entre les divers éléments d’un système pour réévaluer les rapports de domination et repenser les relations entre chacun. Avec divers médiums, je cherche constamment à créer un mouvement dans mes oeuvres soit avec un aspect évolutif, sériel ou séquentiel, soit avec un parcours dans l’espace, ou alors avec la technologie. En utilisant une esthétique minimaliste, je souligne l’absurdité de certains sujets ou situations pour révéler leur aspect troublant.
Dans le cadre de projets spécifiques avec thématique ou lors de résidence et d’événements, je m’intéresse davantage au lieu d’accueil ou de travail en cherchant à entrer en dialogue avec sa mission, son histoire et sa communauté.
Mes recherches abordent les relations conflictuelles entre les humains, les éléments de la nature et les technologies à travers le passé, le présent et le futur. Elles puisent dans la politique, la psychologie, la biotechnologie, dans les théories sur le postcolonialisme et sur la décolonisation de la nature afin de proposer un regard critique sur les rapports de domination. Poursuivant une approche écoféministe dans une forme narrative teintée d’un humour noir, je multiplie les points de vue évitant ainsi de prendre une position dominante pour inviter les dialogues.
Pour chacun de mes projets, je propose un environnement où je cherche à raconter par fragments ou dans un ensemble, les effets pervers de l'anthropocentrisme.
J’utilise des formes narratives où j’adopte une approche empathique inspirée de l’écoféminisme mettant en avant plan une pluralité de points de vue pour équilibrer le pouvoir du regard. L’objectif est de créer des conversations entre les divers éléments d’un système pour réévaluer les rapports de domination et repenser les relations entre chacun. Avec divers médiums, je cherche constamment à créer un mouvement dans mes oeuvres soit avec un aspect évolutif, sériel ou séquentiel, soit avec un parcours dans l’espace, ou alors avec la technologie. En utilisant une esthétique minimaliste, je souligne l’absurdité de certains sujets ou situations pour révéler leur aspect troublant.
Dans le cadre de projets spécifiques avec thématique ou lors de résidence et d’événements, je m’intéresse davantage au lieu d’accueil ou de travail en cherchant à entrer en dialogue avec sa mission, son histoire et sa communauté.
Stéphanie Morissette, 2017 ®